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Utopie du Paradis des edelweiss sur la plage de Deauville, le 10 mars 2025. Photo : Rozenn Douerin.

 

Voilà bien environ quelques semaines que nous n’avions donné des nouvelles photographiques du monstre chez qui nous habitons. Plusieurs millions d’internautes ou quasi ont témoigné de leur inquiétude. Afin de rassurer la planète, voici quelques souvenirs d’une escapade grâce à laquelle la Tueuse a découvert la plage et dégainé sa fameuse excuse – assez peu crédible, reconnaissons-le, au vu du cliché – qui consiste à jurer, les yeux dans les yeux :

 

C’est pas moi qui ai fait le trou, m’sieur l’commissaire, j’étais même pas dans la voiture avec Bernard. Je crois que le coupable est plus ou moins un Chinois qui cherchait des terres rares et qui est parti en criant : « J’suis Chinois ! J’suis Chinois ! »

 

Utopie du Paradis des edelweiss sur la plage de Deauville, le 10 mars 2025. Photo : Rozenn Douerin.

 

En tant que berger belge, une fois, la demoiselle a tenté de garder ses blancs moutons, d’autant qu’il pleuvait plus ou moins ou qu’il allait pleuvoir comme dans la chanson – salut à toi, ô Normandie ! Il semblerait que la mer eût compris le message et se méfiât, désormais, de la rugosité tellurique de certains canidés.

 

Utopie du Paradis des edelweiss sur la plage de Deauville, le 10 mars 2025. Photo : Rozenn Douerin.

 

Bref, grise, grisée, grisante, l’aventure continue.

 

Utopie du Paradis des edelweiss sur la plage de Deauville, le 10 mars 2025. Photo : Rozenn Douerin.