La messe que même pas tu la laisses jamais jouer à un collègue…
… sauf si tu es mort, peut-être, et encore, pas ressuscité.
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… sauf si tu es mort, peut-être, et encore, pas ressuscité.
Jouer du Beethoven pour un défunt fan (qui donne quand même in extremis un CD de Tchaïkovski pour la sortie de son enterrement), dans une église où tu as juste envie de prendre chez toi Winnie et Bourriquet, qui sont à l’entrée pour inciter les enfants à aller à la garderie plutôt qu’à la messe…
Vis ma vie d’organiste, et allume le feu. (À celui qui lui demandait s’il avait le feu sacré, un personnage de Dan Gutman répondait : « Seulement quand j’ai mangé un chili con carne bien épicé. » Voilà, ce sera tout pour l’instant, vous pouvez disposer.)
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !