80, le bientôt bel âge
La quatre-vingtième approche. La soixante-dix-neuvième d’abord, mais bientôt quand même. Merci aux artistes, au public, aux artisans, à la paroisse et aux instigateurs. Let’s get going.
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La quatre-vingtième approche. La soixante-dix-neuvième d’abord, mais bientôt quand même. Merci aux artistes, au public, aux artisans, à la paroisse et aux instigateurs. Let’s get going.
Quoi qu’il joue ce soir-là sur une console pourvue d’un ridicule cordon ombilical en manière de Westaflex, rappel de l’incurie stupide des incultes pouvoirs publics laissant croire que des économies minables compensent leurs dépenses somptuaires (ça bombarde en épithètes, bien ou bien ?), Vincent Genvrin est un monsieur sérieux, ainsi que chante si bien Julie Fuchs…
De l’extérieur, donc de la vraie vie selon les gens bien – genre les journalistes qui comptent (si, certains savent compter), du monde réel dirait un technocrate, du point de vue des braves types stipuleraient les pharaons qui nous gouvernent, on peine sans doute à imaginer l’importance de Guy Bovet. Dans ce monde francocentré où…
Ce n’est plus une mode, sire, c’est un raz-de-marée : le cinéconcert se développe, ragaillardissant les films muets au son des orgues-pas-de-cinéma – même Komm, Bach! s’y est frotté par le truchement de Noël Hazebroucq en personne. Dans la série programmée par Lionel Avot pour Radio-France, le dernier épisode en date proposait de plonger dans…
J’avoue, je n’ai rien compris à l’idée de « concert-atelier », et j’ai été un brin déçu par ce que cachait cette appellation. Puisque ce concept d’une heure environ mettait en son Vincent Genvrin, grantorganiss et transcripteur, j’espérais que l’on entrerait dans son (ha-ha) atelier spécifique avec des questions du type « pourquoi transcrire pour orgue des trucs…
À la base, l’idée, c’était de venir graffiter quelques livres en causant avec les usagers de la médiathèque chapeautée par Nadia Bellenger. En fait, la librairie Les Fables d’Olonne avait vufte oublié de commander des exemplaires. L’amnésique a dit qu’il était désolé. Par chance, on avait inventé d’autres occupations.Le vendredi soir, c’était concert en duo…
Le cadeau. Que Herr Vincent Genvrin, titulaire de Saint-Thomas d’Aquin et de Saint-Nicolas-des-Champs, accepte de se bouger le popotin afin de sévir à Saint-André-de-l’Europe pour fêter la restauration de l’orgue… Que non seulement il nous offre un programme sur mesure mais que, en sus, il accepte les conditions rigolotes qu’impose l’économie spartiate d’un récital d’orgue…
Magique ! Réalisez vous-même votre flailleur pour le récital sekspsionnel de Vincent Genvrin en contrecollant les deux photos de ce post. Bravo, et rendez-vous vendredi !
Côté pile, on stocke les partitions de l’artissse. Côté face, on lui prépare de quoi tenir. Passsqu’on paye pas cher, c’est vrai, mais on veut qu’il tienne le coup, quand même.
Première répétition à Saint-André-de-l’Europe pour Vincent Genvrin. Ça envoie.
– Bertrand Ferrier, rude journée que ce samedi… – Tout à fait. Dans le désordre : messe, répétition du concert du 25 novembre avec Vincent Genvrin à l’orgue et Samuel Campet comme co-assistant… et dégustation de différents vins pour accompagner différents foies gras chez Thierry Welschinger. – Nous n’avons pas d’autre question, Votre Honneur.
Invité à Radio-Courtoisie par Vincent Beurtheret et Annette Ventana, pour y parler de L’Homme qui jouait de l’orgue. Par ma foi, qu’importent inepties et maladresses, on fait c’qu’on peut avec c’qu’on a, ma brave dame… Première partie (12′) : devenir organiste Deuxième partie (19′) : exercer comme organiste Troisième partie (21′) : survivre comme organiste
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !