Retour en transmédiaticité

  Enfin un post avec un titre qui claque, non ? En voici la traduction. Pendant dix ans, au Mans, à Rennes, à Bordeaux et à Toulouse, j’ai enseigné à l’université, notamment en littérature, édition et traduction pour la jeunesse. J’ai soutenu une thèse de littérature très comparée sur le sujet. J’ai publié un essai…

La novélisation enfin dévoilée

Les pauvres étudiants que j’ai fait souffrir pendant onze ans le savent : pour comprendre l’édition pour la jeunesse, il faut trois éléments – du jus de crâne (avec un coup de poing sur le bureau en hommage à mon prof d’histoire de khâgne, sire Bernard Phan), des notions d’entertainment pour comprendre les différents produits…

And now for something completely different

Il est temps pour moi de me préparer à participer à la Biennale de littérature pour la jeunesse organisée par l’université de Cergy-Pontoise. A priori, j’avais abandonné ces moments bénis où, pendant plusieurs jours, tu es payé (par ta fac, or j’ai plus de fac) essscluzivman pour écouter les collègues, réfléchir, parler, communiquer, débattre sur…

Girls run the world (of young readers’ business)

Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent presque pas connaître. J’écrivais des articles universitaires. Le prochain paraîtra aux Presses Universitaires de Bordeaux et conclura le recueil sur les Fictions historiques pour la jeunesse en France et au Québec, dirigé par Brigitte Louichon et Sylvain Brehm. Et ça commence comme…

Drôles de genres

Ce 22 janvier, 11 h, à la Maison de la recherche (28, rue Serpente / Paris 6) : communication sur « Les sexes de l’auteur. Plasticité auctoriale et horizon de réception dans l’édition actuelle de romans pour la jeunesse », dans le cadre de la journée d’étude sur « Le genre des signatures ». Et à 20 h, au…

Es-tu de ma famille, de mon ordre et de mon rang ?

Ces 27 et 28 novembre, rendez-vous à Paris-XIII puis à l’Institut International Charles-Perrault, à Eaubonne. On y causera d’histoires de famille, et j’y parlerai spécifiquement de ces familles que l’on trouve à foison dans l’œuvre de Martine Pouchain – dont, oui, les romans en valent toujours deux, puisque un Pouchain égale deux. Gnagnagna.

Presque rire ou prescrire, pourquoi choisir ?

Vendredi 14, rendez-vous à Saint-Cloud pour un colloque organisé par Paris-10 sur l’art de la prescription. J’y parlerai des cyberstratégies des éditeurs français pour séduire ses p’tites ach’teuses. Yummy.

L’homme qui sauva la SNCF

Lundi, Rennes, université, dernier enseignement de l’année, je vais powerpointer. Mardi, Bordeaux, je vais encore powerpointer mais, cette fois, pour un colloque sur les filles et les garçons. D’ailleurs, j’ai choisi les filles. Chais pô pourquoi.

Sur le sentier de l’Histoire

La vie d’ma mère, vient d’être publié, sous la direction de Pascale Mounier, un article universitaire signé de ma main. Le thème : la fabrication de l’Histoire à travers l’éditorialisation (id est l’exploitation en livres) du naufrage du Titanic. Oui, il manque une note de bas de page dès le premier paragraphe, mais bon, comme…

J’ai rendez-vous au Château

Aujourd’hui, j’ai rendez-vous au Château de Mérignac. Bon, à l’IUFM, d’accord. Objet : 4 h de cours sur « la traduction pour la jeunesse, état des lieux et pratique » aux étudiants du master 2 professionnel d’édition scolaire, parascolaire et de jeunesse, rien que ça. Las, nul ne m’a proposé de m’y téléporter en jet privé. L’université…