Corinne Kloska joue Brahms et Schumann (Soupir) – 2/2
Voilà un regret récurrent qu’inspirent les livrets de disque. Souvent, les auteurs y font étalage d’une science – plus ou moins scientifique, et il n’est pas toujours certain que le plus soit le mieux – des œuvres jouées mais oublient l’essentiel : l’articulation entre les différentes pièces, la cohérence du choix, la logique du…