Révolte !

Le ténor 3, en clef de sol, au-dessus, chante un fa et dit : « Fa. » Le basse 2, en clef de fa, tout en bas, chante un fa et dit : « Fa. » Comme de par hasard, le compositeur essaye de piéger le basse 1, en lui faisant chanter un si tout en disant : « Fa. »…

Saint-Denis, terre de néoculture

Si chanter, c’est fermer deux fois la gueule aux cons, alors chanter en chœur de la musique contemporaine dans l’un des départements les plus pauvres d’Île-de-France, c’est faire encore mieux. Surtout quand ça se pratique dans la bonne entente, le professionnalisme et l’enthousiasme. Après, qui dit 93, dit forcément problèmes religieux. À titre personnel, je…

Partout, pour tous

Parfois, on regrette que chanter de la musique contemporaine n’implique pas d’être transporté  en limousine vers des contrées aux paysages enchanteurs. Mais c’est joyeux qu’un département croie encore que la musique de qualité, à défaut de sauver le monde, réunit les curieux et propose un partage un brin plus stimulant qu’une émission de la télé…

La musique vue par ceux qui la zouzoutent (parfois)

Après, tout ce que je peux dire pour ma défense, c’est que j’étais là en concert avec Soli-Tutti, pour chanter Rebeca Santiago Martinez, Petr Eben et Huihui Cheng. Et AUSSI pour, comme tous les membres du chœur, sans doute, photographier des reflets de vitraux avec un méchant smartphone, mais bon. Une église était pleine, contre…

Sans trembler, avec Tremblay

Ce vendredi, au théâtre L’Odéon – Jean-Roger Caussimon de Tremblay-en-France, a été créé Tian Wen II de Huihui Cheng par le chœur Soli-Tutti (dans lequel je glisse quelques sons de basse 1), sous la direction de Denis Gautheyrie, avec l’orchestre Densités issu de l’ensemble Divertimento, feat. notamment les excellents Yves Bruchon, première clarinette, et Sandrine…