L’art de Sylvie Carbonel (Skarbo) – 6/24

  La quatrième de couverture du deuxième disque du florilège Sylvie Carbonel a beau être peu soignée (oubli des deux points, guillemets des secondes inutiles, parfois oubliés ou de couleur changeante, cap inutile sur « collection »…), faisant écho à la première où manquent l’accent sur « Desbrière » et, accessoirement, le nom de l’interprète, le programme du disque,…

L’art de Sylvie Carbonel (Skarbo) – 5/24

  Des dix pièces pittoresques d’Emmanuel Chabrier par Sylvie Carbonel, cinq nous restent à savourer, les cinq premières ayant été évoquées ici (sur l’hyperlien, on trouvera un lien vers une diffusion pirate du disque disponible sur YouTube). Bien que le projet de love niveau débutant soit très clair, la partition de l’« Idylle », un Allegretto en…

L’art de Sylvie Carbonel (Skarbo) – 4/24

  Le deuxième disque du florilège de Sylvie Carbonel – dont le nom est curieusement absent de la pochette – est un étrange donc intrigant attelage de musique française, enregistré en 1997 par Michel Blanvillain pour Quantum – au moment où nous écrivons ces lignes, un exemplaire est disponible à la vente ici. D’un côté,…

L’art de Sylvie Carbonel (Skarbo) – 3/24

  Bien sûr, la première de couverture du disque Moussorgsky réédité par Skarbo fait un peu saigner des yeux, avec un œuvre devenu une oeuvre, le prénom de l’artiste fracassé et la photo qui montre la pianiste avec une partition de Prokofiev alors que le disque est 100 % Moussorgsky. Tant pis : l’essentiel doit…

L’art de Sylvie Carbonel (Skarbo) – 2/24

  Le plaisir de la diversité (de genre, de durée, de caractère) accompagnait l’écoute des huit premières pièces de Modeste Moussorgsky placées en tête du florilège Sylvie Carbonel publié par Skarbo. Nous reprenons le cours de nos émotions avec un feuillet d’album intitulé « Méditation ». L’affaire, en ré mineur (tentée in fine par le Ré majeur)…

L’art de Sylvie Carbonel (Skarbo) – 1/24

  C’était un temps déraisonnable : quand un pianiste se mettait à table, il n’était pas toujours obligé de ressasser la même musique – disons de se spécialiser, même si ce verbe est parfois un euphémisme cocasse pour ne pas dire « se limiter ». En témoigne ce florilège des enregistrements de Sylvie Carbonel, où Beethoven côtoie…