Salle Pleyel, 12 mars 2014 : Strauss et Schubert
Après la démission de Anja Harteros, l’Orchestre de Paris a monté in extremis un programme exclusivement instrumental dans une salle forcément très clairsemée. La première partie s’ouvre par Mort et transfiguration de Richard Strauss (25′), un poème symphonique en quatre mouvements enchaînés. L’orchestre est massif, avec cuivres et percussions de rigueur. D’emblée, Marek Janowski semble…