Ali Hirèche joue Schubert et Liszt – 2/3

  La transition est plus à la mode dans les médias non-binaires qu’en musique (binaire ou non). C’est pourtant à cette activité qu’Ali Hirèche s’adonne dans la deuxième partie de son récital Schubert-Liszt tout juste paru sur le label Bion. L’affaire a commencé par la « Wandererfantasie », chroniquée ici, dont on sait qu’elle a été souvent…

Stephanie Bühlmann, Zauberluft, Solo Musica

  La Suisse est une passion suisse, et c’est heureux – le titre énigmatique de ce disque en témoigne. De nombreux musiciens helvètes de haut niveau prennent le temps de plonger dans leur répertoire, d’en déceler des angles morts, de le travailler et de l’enregistrer – quitte, pour ce faire, à se transformer en productrice,…

Un tube des cordes (vocales)

  Tu sais que tu n’as jamais ouï la moindre mélodie française tubesque si, dès les premières notes de ce tube de la mélodie française, tu n’as pas envie de crier : « GNAGNAGNAAAA… ILS MÉDIIIIIIIITEUH… »    

Petites symphonies pour un nouveau monde : « Chagrin de printemps »

Les habitués de ce site le savent, Vittorio Forte est un pianiste éblouissant – et généreux, comme en témoigne sa partition au tout p’tit festival Komm, Bach!. Il n’est pas encore le plus connu des ploum-ploumistes ? Soit, mais si, en entendant la vidéo ci-dessous (enregistrée par lui chez lui), vous ne vous dites pas…

Cyprien Katsaris et Christoph Prégardien, « Auf Flügeln des Gesanges », Challenge Classics

Encore une critique qui, après celle du dernier spectacle de Jann Halexander, ne prétend seulement pas à l’objectivité. En effet, (d)énonçons-le d’emblée : ici, le propos sera biaisé. Pourtant, l’histoire avait commencé en quatre temps, avec le sérieux binaire requis. 1. Les quatre temps de l’analepse quasi proleptique, et hop Nous avons critiqué les précédents volumes…

Salle Pleyel, 17 septembre 2013

Le 17 septembre, c’était la reprise de ma saison de spectateur – ô impatience ! L’orchestre symphonique de Cologne ouvrait le bal dans un programme Beethoven + Strauss. En première partie, classique mise en bouche, l’ouverture d’Egmont de LVB rugit avec l’énergie requise puis laissait entendre un plaisant souci de contrastes. Entre alors en scène…