Lire à la vanille, selon Sophie Chérer
Arrêtons de déconner. Au moins cinq minutes. Bon, disons deux ou trois. Une, d’accord. Sérieusement, les gens, on n’écrit pas pour le plaisir de caresser son clavier ou de contempler sa génialité profonde. Surtout pour la jeunesse. Non, la vérité, c’est qu’on publie des livres pour la jeunesse afin d’être invités, si possible, plutôt à…