Maintenant, deuxième
Deuxième épisode du cycle lumineux de Matthias Pintscher, « Now II » traque la lumière noire à l’aide des cordes d’Emmanuel Acurero. L’oxymoron vaut le coup d’oreilles.
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Deuxième épisode du cycle lumineux de Matthias Pintscher, « Now II » traque la lumière noire à l’aide des cordes d’Emmanuel Acurero. L’oxymoron vaut le coup d’oreilles.
Avec près de 300 vues en à peine 36 h, le cyberconcert du festival Komm, Bach! réunissant orgue et chœur de jeunes filles a rencontré un franc succès d’emblée. Désormais, il est disponible en replay, avec une set-list diversifiée et un coquetèle d’émotions à savourer sans modération. Pour les curieux, voici le programme ;…
Le gouvernement interdit les élections et les rassemblements culturels – sans doute une coïncidence. Qu’importe, on continue. Ce samedi soir, en toute légalité, profitez d’un concert associant le chœur des Polysons – de jeunes chanteuses de Belleville managées par Elisabeth Trigo – et l’extraordinaire lutin des orgues, Jorris Sauquet en personne. Une heure de…
Voici le moment polémique. Chacun sait que, plus que la chasse, je vomis les chasseurs, ces pleutres dégueulasses, qu’ils soient habillés en kaki ou de pourpre et d’or. Y a pas de bons ou de mauvais chasseurs, y a que des p’tites merdes qui se croient puissants parce qu’ils ont un fusil et qu’ils…
Le monde est beaucoup trop sérieux pour les poètes et les ploucs. Évadons-nous, chers collègues, sur les ailes d’un violoncelle inspiré donc inspirant !
Captation en cours, cette nuit, pour un prochain concert YouTube du festival Komm, Bach!. Des coulisses, le rangement paraît un peu perfectible, mais on n’a plus que 18 h 52′ de bande devant nous – pas le temps de faire dans le détail-qui-ne-se-voit-pas… On vous attend presque déjà bientôt ; et, comme…
Le jour de ton décès, ils pourront être trois ou moult à regarder le bois, ils pourront remplir une collégiale ou se perdre dans une petite église, une chose est sûre : comme tu le savais, tu seras mort seul. Jusqu’au bout Frederik Mey aura raison… mais, si l’organiste est honnête (ça…
Toujours être du bon côté des barreaux (à la lisière, stipulerait Clarika), afin de bondir quand la cage s’ouvre. Quand la suite s’ouvre, c’est bien aussi, semble nous signaler Bruno Beaufils de Guérigny, qui offrit cette première diffusion YouTube au festival Komm, Bach!.
Danser le postérieur vissé sur sa chaise, les bras encombrés d’une grosse calebasse DeLuxe avec des cordes, une baguette avec des cheveux à la main, est-ce possible ? Pour certains, oui. Démonstration avec Emmanuel Acurero, le violoncelliste dont le CNSMDP continue d’admirer les prouesses, tant en musique d’antan qu’en musique contemporaine – ici en…
L’Ave Maria que n’a sans doute pas écrit Giulio Caccini est enfin disponible dans une étonnante version orgue et trompe de chasse, enregistrée dans les conditions du direct pour le festival Komm, Bach!.
À l’occasion du cyberconcert orgue et cor de chasse (notamment), offert au festival Komm, Bach!, Bruno Beaufils de Guérigny, aka 2BdG, a passé un coup de fil au Seigneur afin de vivre pour lui et pour le bien de son voisin. Nous n’avons pas connaissance de la réponse, mais la sollicitation vaut le détour…
Bernd Alois Zimmermann avait décidé de mourir. Il termina les pièces qui lui avaient été commandées. Juste après avoir achevé les « Quatre études brèves », il se tua. Emmanuel Acurero, pépite vénézuélienne des écoles de violoncelle du CNSMDP, sait en rendre la puissance et la fatalité intérieures, par-delà les défis techniques. Accrochez-vous pour 4′ d’émotions…
– Vous voulez faire une captation en vue du concert « Le futur est en flammes ! », mais ça va pas être trop FORT, au moins ? – Oh, si peu, si peu.
Une hymne. De la pétillance. Du tube et des tuyaux. Ainsi s’achevait le concert « Y a d’la joie ! » qui, lui-même concluait la quatrième saison du festival Komm, Bach!. Les snobs peuvent bien faire la moue ou la molle : on ne jouera jamais pour eux.
Toujours pensé que jouer de l’orgue, c’était mieux dans le noir. En fait, me dis qu’être dans le rouge, pour une fois, c’est bien aussi.
Dans le cadre du concert « Y a d’la joie ! » propulsé pour la Fête de la musique 2020, je proposais quelques improvisations. Dont celle-ci, intitulée Souvenirs des dernières joies du petit vieux qui ne reviendra plus prendre le soleil sur le banc en fumant son cigarillo. Oui, je sais, mais il vaut toujours mieux…
On n’est pas près de s’incliner devant les ordures qui assassinent la culture, fussent-elles pharmaciennes sarkozystes reconverties dans la télé de merde puis dans le lèche-culisme profitable (comme quoi, y a une cohérence). En revanche, d’un salut à la Vierge avec la soprano américaine Jennifer Young, on ne sera jamais marri. Communiqué…
On essaye. On propose. Et, parfois, quand le thème est « y a d’la joie », ça peut donner une suite déclinant la « Joie minaudante », donc : la réception d’une nomination prestigieuse ; la célébration éclatante de la nouvelle ; la chanson de la modestie touchante et bien élevée ; le désir de reconnaissance submerge peu…
Petites et grandes joies, extases ou gourmandises, réelles ou imaginaires, puissiez-vous demeurer. Allez, parfois, quoi. Un peu. Sans déconner, ça serait sympa.
César finit d’écrire son impressionnant Troisième choral un 30 septembre. Il meurt le 8 novembre. L’urgence d’écrire vit toujours dans la virtuosité douce et décidée de Midori Abe ; et c’est chouette !
C’est cette punchline du poète Paul Valet qui nous guidera vers la lumière musicale, ce soir. Alors que l’organisation des concerts est toujours bridée par les décisions gouvernementales qui mettent à mal, euphémisme, le milieu culturel et nombre de ses acteurs, quatre artistes viennent chez nous grâce à la magie d’Internet. Le festival Komm,…
C’est un hasard, mais c’est encore un ploum-ploum de moi, extrait du concert « Y a d’la joie ! » claqué en collectif le 21 juin. En même temps, c’est mon site, ça peut jouer aussi. Si, à la marge, mais ça peut jouer. Éventuellement.
La joie est indécence. C’est pour ça. Sinon, elle ne serait sûrement qu’ennui.
Oui, il suffira d’un cygne, un mâtin. Un mâtin tout tranquille, et serein. Qui jouerait ce tube, l’air de rien. Et ça donnerait ça.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !