… and nothing matters
J’ai failli ajouter un commentaire, mais la chanson suivante semble stipuler qu’on s’en tampiponne le bibobéchon, alors bon.
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J’ai failli ajouter un commentaire, mais la chanson suivante semble stipuler qu’on s’en tampiponne le bibobéchon, alors bon.
Laissons la tristesse tropicale aux ethnologues sans imagination, et balançons-nous d’à peu près tout, le temps d’une chanson…
La fin du spectacle approchait. Comme chante Michel Bühler, on a fait des chansons comme on se tend la main. On les a partagées sur scène et dans la salle. Sans limitation de durée : sur le moment, dans le souvenir et maintenant sur YouTube. Notre coin est petit, mais il est partout où…
Il n’est pas toujours frais, mon poisson. Mais ce n’est pas que de ma faute, non plus.
Jann Halexander propose d’inventer d’autres ailleurs pour arriver à se trouver à sa place : chiches ?
Comme précisait Ricet Barrier, « putain, le beau métier ! » Accompagner un chanteur que l’on aime dans une de ses chansons que l’on préfère, quel travail harassant. Que fait la peau lisse ?
Bienvenue dans les théâtres d’Aurélien Makosso-Akendengué, quand vient la nuit, quand la raison s’égare… mais aussi en plein jour, chez l’habitant, pour partager, malgré que, et pour vivre joyeusement l’attente de jours meilleurs où le plaisir du partage aura écrasé la peur malsaine que nos gouvernants et quelques gougnafiers ont transformé en sinistre fond…
– Et alors, ce concert sauvage et secret du dimanche, c’était bien ? – Carrément ! Dans la chambre qui nous servait de loges, y avait un wazo. – Un ? – Un wazo. Il s’appelait Boubou et il avait l’air super sympa. – Nous n’avons pas d’autre question, Votre Honneur.
Bientôt, le prochain concert sauvage où, pour un public choisi et masqué, je ploum-ploumerai tandis que fredonnera Jann Halexander. Après la phase travail perso, la phase mise en place du duo mérite souvent quelques graffiti pour que tout soit pimpant le jour où.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !