Entre la forêt et l’usine…
… il y a l’orgue. Surtout celui de la collégiale de Montmorency. Et ça a un tout p’tit peu d’gueule, non ?
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… il y a l’orgue. Surtout celui de la collégiale de Montmorency. Et ça a un tout p’tit peu d’gueule, non ?
Quand organissse méfiant, lui toujours avoir un marteau près de lui (dans certaines paroisses bien sensées).
Quand, dans quelque lieu de culte de banlieue, une souscription est lancée pour la restauration du très grand orgue paroissial et que ça ne fait pas une ligne sur le babillard du presbytère, n’y voyons point malice mais posons-nous question.
« Veuillez m’excuser de ne pas avoir réagi à votre courriel plus tôt, mais vendredi soir et samedi j’étais invité à un anniversaire. » Je me doutais que nous avions choisi le bon expert : non seulement il est simple quoique vraiment expert, mais en plus il a les meilleures essscuses du monde.
Hé-ho ! Ça dérangerait quelqu’un d’envoyer un peu de soleil pour pas démoraliser ceux qui bossent les jours Ferrier ? Par avance, merci.
« Les coincements du deuxième ré se fréquentifient », stipule l’organissse sur le cahier de doléances destiné au facteur. Sans doute du Bertrand Ferrier dans le texte, je suppute. Las ! Néologisez, il en restera souvent à peu près rien, mais bon.
13 h. Joie de travailler, plaisir du houla-houp.
Franz Schubert (1791-1828), Reginald Kenneth Dwight Elton John (né en 1947), Léon Boëllman (1862-1897). Qui a parlé d’intrus du cou ?
Backstage collégiale Saint-Martin de Montmorency. Pour un organiste plutôt fils des néons (et pas mal du néant), ça claque.
Fin d’été. Trois célébrations. Trois heures entre chaque. Survivre. Et ne pas se laisser impressionner par la météo. Non mais.
Pour fêter mon élection au bureau du Syndicat national professionnel des artistes et musiciens du culte, un pote m’attendait avec des chocolats à la sacristie de la collégiale de Montmorency. Pom pom pom….
Jouer un trois-claviers dans une collégiale historique… avec des paroissiens qui écoutent ton improvisation finale sur « La Marseillaise », applaudissent et viennent te dire que ça sonnait comme du Yannick Daguerre… C’est sûr, cela donne du ressort au mot « pomme-pet-deup » !
Ben, la classe. Comme dirait ma p’tite sœur qui fut Jamaïcaine en son temps, good vibes.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !