Le serveur a dû se tromper

Comme tant d’organistes liturgiques, entre deux célébrations, même quand il fait chaud, j’aime me poser à la terrasse d’un bistro pour déguster un café. Même si certains d’entre eux ont une drôle d’apparence, il est vrai.

Café en écharpe

Joie de l’entre-deux-messes du dimanche matin : le café en terrasse. Avec une p’tite laine quand même, y a pas de mais en mai. (Absolument, la pub qui laisse croire que c’est Richard Cafés Kakao, c’est offert. La maison ne recule devant, euh, aucune paresse pour retoucher les photos.)

Workin’ on it

Plus que huit jours avant le grand soir. Celui de la première date de « Bertrand Ferrier chante Michel Bühler » avec Jacques Bon, Fabrice Dupray et Michaël Koné, dans une production Jann Halexander pour Purple Agency. Alors, on bosse – oui, même moi. En buvant du café. Oui, même moi. Enfin, je bois plutôt des cafés,…

Pas que de crocs

– Bonjour, c’est le centre des alcooliques pas anonymes au téléphone mental. Bertrand Ferrier, on nous a envoyé une image. Alors, cette Kronenbourg en terrasse entre deux messes matinales, on en parle ? – Je suis victime d’une dénonciation malveillante. Voici, sans cliché, la photo #nofilter.

Comme si…

… oui, comme si un café, fût-il gourmand, suffisait à dissiper fatigue et paresse. Ha, ha.

Café mouillé

– Tu veux un café, ce matin ? – Je veux toujours un café, mais on a le temps, avant le convoi ? – On a toujours le temps. D’autant que j’ai rapporté une petite liqueur de Pologne pour mettre dans le café, tu m’en diras des nouvelles. Pom, pom, pom, etc.