SPA Grammont, 4 avril 2016
Le lundi matin, d’abord, jouer avec Lina, adoptée mais encore à l’infirmerie.
Enchaîner avec Randy, un ouf malade dingo, qui joue, demande de jouer, joue et fait des câlins. Et des bonds partout, tant qu’à être vivant.
Ne pas éviter le tchou-tchou, M. Golan, qui envisageait ce jour de réaliser une « nouvelle cartographie olfactive des espaces verts ». Il a été « extrêmement déçu » de ma réceptivité moyenne à son « projet ambitieux et exigeant d’exploration exhaustive du champ d’investigation envisagé », mais bon.
Enfin, grattouiller Corso, alias Big Nounours, qui aime courir, faire des câlins (tiens donc) et passer pour un lion aux yeux des cons. Ah, et lancer des défis, du genre :
– Hé, Bertrand, tu crois que tu peux me photographier d’un coup avec la langue et les oreilles en intégrale ?
– Ben ouais, pourquoi ?
– Essaye.– Raté !
Dont acte.