Son côté Ridley Scott
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, chers lecteurs,
En ce lendemain de Noël, permettez-moi de vous offrir un film avec des tas de costumes, de la fumée, des décors naturels et historiques autour de la figure de Napoléon. Ce n’est pas la chanson la plus drôle de Barthélémy Saurel, non, mais c’est l’une des plus puissantes, dans la mesure où elle associe son sens
- de la formule,
- de la mélodie qui fait mouche,
- du rythme et de la suspension qui portent sans lanciner, ainsi que, c’est pas négligeable,
- de l’humour à minitouches qui mouche – pas qui touche : qui mouche – à chaque fois.
Après ce grand spectacle de trois minutes finement mené à l’occasion du concert « Chanter ensemble », accroche-toi, Ridley !