Simplement, simplement, une fin de dimanche sur la Terre
Au début, cet instantané de la vie dominicale d’un harmoniumiste, je l’ai pensé parce que je trouvais ça hyperévocateur. Ou hypermimi. Voire hypermimystérieux.
Voilà, c’est ça : méga-iconique.
Puis je me suis souvenu que, en sus de mon non-talent photographique, je disposais in situ d’un photophone un tantinet perfectible. Donc j’ai pensé que j’m’en foutais. La rêverie n’est pas une histoire de pixels, après tout.
Par conséquent, spécialement pour les amis rêveurs, voilà.