Série de Carême, ça se précise : épisode 3
L’un est un ténor puissant et subtil, capable de chanter du Wagner en solo à l’Opéra Bastille ou de murmurer une prière de Fauré dans l’intimité d’une église. L’autre est un premier de la classe qui a l’outrecuidance d’être, en sus, un musicien fin et brillant – un de ces phénomènes comme le CNSMDP en produit de temps en temps, avec son lot de premiers prix (piano, orgue, musique de chambre, accompagnement…), sa carrière exceptionnelle et ses fans ébaubis. Le soliste lyrique et le titulaire des grandes orgues de Notre-Dame de Versailles ont choisi Saint-André de l’Europe pour explorer leurs répertoires sacrés de prédilection, avec notamment des pièces de Bach, figure imposée par le Festival, de Puccini et d’Alain.
Le programme, aussi diversifié que brillant, permettra de plonger en musique dans ce que, peut-être, le Carême a inspiré de plus harmonieux. Entrée libre, église chauffée, écran géant, programme offert et possibilité de soutenir les musiciens en laissant à la sortie quelques billets de cinq cents euros – par exemple : alors, heureux ?
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