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En bas, un Merklin de choeur. Appelons-le Junior.
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En haut, un Merklin de tribune. Ze boss.
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L’entrée du GO. Pratique même pour Michel Petrucciani. Sinon, baisser plus que la tête. Aïe.
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Pour monter, escalier de bois puis faufilade dans le roc(k). (Ah, précision : aucune métaphore graveleuse n’est autorisée, désolé.)
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… Et de là-haut, on voit ça. En mieux, si on a une bonne vue. En moins bien, si on est à l’orgue. Faut choize.
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La console du grand Merklin. Avec des couleurs très schtroumpf, dans l’esprit, non ?
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Les pédales d’appel à la pelle. Pas facile de ne pas les mélanger. (Non, pas les pelles).
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Franchement, ça crache ou ça crache ? Bon. Quand même.
Mariage joué sur les Merklin de Saint-André de Lille. C’était bien, c’était chouette. Au programme, curieusement : Super Mario Bros 2, Zelda, Atlantys, « Famille » de JJG et « Onde sensuelle » de -M- en écho spatialisé à un duo guitare électrique-flûte. Une expérience digne du marié, Maxime Fontaine, le mec bien secoué qui a écrit la « trilogie d’Ézoah » (Intervista et PKJ) avec moi.