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20161109_220645Sans dramatiser, Jann Halexander présentait son concert du 9 novembre comme son « dernier concert parisien avant nouvelle vie ». Comme c’était le jour de l’élection de Donald Trump, et que cette nouvelle révulsait le public rassemblé autour du chanteur-performeur-réalisateur-écrivain, j’ai opté pour « American Movie », une chanson so american, dont Damien Fewwiew avait écwit la miouzik du temps de Je m’appelle Firmin

Ce à quoi Jann Halexander a répondu par une rafale de chansons, tour à tour drôles, intérieures, ironiques, précieuses, singulières. J’avais fait un article sur son concert donné à Comédie Nation, mais un cochon de « membre de la famille d’Elsa Gelly », qui continue de tenter de souiller mon site, ce gros lâche, a détruit cet article. Je ne le recommence pas ici, mais je recommande ce chanteur capable de vous emballer dans son univers grâce à ses hits préférés (« À table », « Docteur Schweitzer » non chanté ce soir-là, hymnes de vampire et de sexe triste)… et de claquer des chansons remarquables pour conclure son tour de chant avec douceur, poésie et finesse. Il ne serait pas sympa, il m’énerverait, mais réjouissez-vous : j’ai négocié le droit de diffuser « Un cèdre sur ton toit », la magnifique chanson qui concluait sa prestation et que vous découvrirez peut-être bientôt en vidéo grâce à Monique Hottier. Bonne écoute, et restons en touche, comme on dit en franglais.