Petites symphonies pour un nouveau monde : Hélène de Montgeroult
Parmi les virtuoses qui ont participé au concert du 28 mars, le plus dingue, et de loin, s’appelle Nicolas Horvath. Redoutable manipulateur de clavier, l’homme ajoute à cette caractéristique une forte dilection pour la musique minimaliste, l’exploration de répertoires multiples et les concerts de plus de douze heures. Mais même les miniatures d’1’40, ça lui fait pas peur. La preuve.