16
novembre
Oisiveté professionnelle
- faire imprimer les affiches du concert du 25 septembre puis les massicoter,
- suivre le règlement de la graphiste,
- contrôler l’affiche pour le concert du 9 décembre,
- remplir + faire tamponner + scanner + envoyer la demande d’autorisation SACEM et la set-list du concert de Vincent Crosnier,
- reclipser l’écran géant et crapahuter sur le hall de l’accueil, dans l’église, pour évaluer la faisabilité d’une dissimulation ultérieure,
- remettre des leaflets à disposition d’un public qu’une main sale et une âme noire ont brimé en jetant les précédents programmes de la saison 2017-2018 ;
- prendre rendez-vous pour hisser l’écran vers les voûtes sans que ça dérange trop le patron,
- se préparer à vidanger la mémoire de la caméra sur le disque dur donc constater la disparition de la connectique adaptée,
- faire imprimer puis plier les programmes du concert d’Esther Assuied,
- boire un café.
Ainsi, l’un dans l’autre, la matinée se passe à rien foutre. C’est l’un des avantages d’organiser un festival, faut bien avouer.