Il semblerait que nous soyons toujours seuls dans nos nudités
Quand, avec Jann Halexander, nous avons pu sortir des concerts clandés donnés dans des parkings, nous ne sommes pas direct retournés dans les théâtres à l’italienne, faut raison garder. Un p’tit théâtre-atelier (et vice et versa) avec des spectateurs chauds bouillants, c’était bien pour retrouver le plaisir de partager des chansons puissantes jamais souillées par un passage sur France-Inter.
De fait, vidéo à l’appui, c’était chouette et bon – la présence de Louise Kersulec à la flûte étant évidemment un plus résolument positif.