Nothin’ can save me but myself
Pas toujours, mais parfois, il faut compter juste sur soi.
Surtout quand vous donnez un récital dans un endroit exceptionnel et que la mécanique se révolte.
Oh, bien sûr, être entouré de la capteuse d’images mouvantes coutumière et d’une des plus fantastiques jeunes organistes que l’on connaisse, réduite pour la circonstance à l’état de lutin volant autour de la console, ça peut aider mais, disons pour sauver la face, à la marge.
Dommage que, dans la vraie vie, nothin’ can save me from myself. Ça paraît si simple, autrement.