Moi quand… (1)
… une vieille carne, à la fin d’une célébration, vient me dire que j’ai joué trop fort, ou trop dissonant.
Ou quand on m’explique que je me suis « éclaté » parce que, pour une fois, j’ai plutôt joué de la musique à l’offertoire que ploum-ploumé un chiant des sectes charismatiques.
Ou quand la responsable d’une association pour la promotion de la musique me confirme que, six mois auparavant, elle a bien reçu le chèque d’un internaute pour soutenir le festival mais elle a un an pour l’encaisser, alors ça va, quoi.
Ou quand [à suivre]…