L’œuf-loup
Tu connais ce moment, oh, tu connais ce moment où, malgré plus de vingt ans dans l’édition, tu sautilles quand tu reçois des livres auxquels tu as vendu ta petite contribution. Tu ouvres le colis d’Interforum à la hhhâte, tu te saisis des parallélépipèdes feuillus, et tu les feuillettes SURTOUT sans les lire de peur d’y repérer les sornettes qui y demeurent forcément – nul n’est parfait, et parfait c’est nul.
Las, férocement, le flou ne suffit pas : avec ton q, tu tombes sur la coquille bien visible, bien moche. Honte et fatalité de la p. 197. Lecteurs, désolé.