La face cachée du Ring
Pour compléter nos p’tites critiques glissées çà et là sur la première partie du Ring vu par Gergiev et ses loulous, quelques instantanés complémentaires pris dans la tourmente. Comme ce rappel, en chemin, que la vraie vie est aussi ailleurs…
… ou cette installation très symbolique représentant un type qui a obtenu un job consistant à se demander pourquoi il est payé…
… ou ces crottes jaunes, genre atelier de maternelle raté, qui parsèment le parterre jouxtant la Philharmonie. Ni de l’art, ni du cochon, juste du caca que, curieusement, personne n’aurait ramassé à l’heure où nous bouclons ces lignes musicales.