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Avec Sébastyén Defiolle, Claudio Zaretti et Pierre-Marie Bonafos, pendant l’enregistrement de « À tout hasard »

 

L’impatience nous joue des tours, mais c’est un fait : bientôt, nous nous cyberretrouverons pour le concert de chansons à textes et à musiques intitulé « À tout hasard » qui sera diffusé sur YouTube – Première ce vendredi 5 novembre à 20 h 30, film disponible à discrétion pendant quinze jours contre un billet modique à acquérir ici.
Soyons honnête, pour une fois : le choix de la diffusion par Internet n’a pas été fait de gaieté de coeur. Néanmoins, il offre trois avantages :

  • éviter (ou presque) les polémiques usantes autour des choix sanitaires gouvernementaux,
  • proposer ce partage dans toute la France et plus si affinités,
  • et adapter la proposition aux disponibilités de chacun, puisque le film pourra être regardé voire reregardé à tout moment jusqu’au 20 novembre.

Il fait aussi écho à la période du confinement pendant laquelle j’ai posté une quarantaine de nouvelles chansons, histoire que les sachants et puissants libertivores n’annihilent ni notre créativité ni notre joie de partager paroles et musiques. En attendant de pouvoir vous retrouver au gré des scènes, si la fréquentation des salles de spectacle – actuellement catastrophique – s’améliore, cette cyberinitiative m’a paru le moindre mal pour conserver et fortifier le lien qui nous unit musicalement. D’autant qu’elle réunit autour de moi – ô fierté – des musiciens et des techniciens hors pair.

 

Claudio Zaretti pendant l’enregistrement de « À tout hasard »

 

En effet, projet digital, ce film enregistré dans les conditions du direct n’est pas un projet low cost pour autant. Grâce à la bénévolence de partenaires de scènes, une équipe technique DeLuxe a pu être mobilisée afin de proposer un tour de chant de qualité. Sur une ambiance lumineuse créée à partir des conseils de Clément Gulbierz, jeune ingé lumières capable de se saisir de n’importe quelle demande pour en tirer plus que le meilleur, se greffe une prise de son riche et maîtrisée, manigancée par Sébastyén Defiolle. La captation et le montage sont l’œuvre d’Esther Assuied, une artiste aux doigts de fée.
Cet écrin sertit douze chansons, dont neuf jamais chantées sur scène et ici portées par

  • un piano Petrof à forte personnalité,
  • la contrebasse protéiforme de Claudio Zaretti et
  • le saxophone superlatif de Pierre-Marie Bonafos, mix de savoir classicos et de science jazzistique.

Histoire d’ouvrir un peu les fenêtres dans un temps où certains nous poussent au repli sur soi voire sur rien ni personne, l’ami Jann Halexander, chanteur franco-gabonais de métier depuis une vingtaine d’années, a été convié à pimper cette fête… à laquelle – la tempérance n’y peut mais – nous avons décidément hhhâte de vous retrouver.

 

Claudio Zaretti et Jann Halexander pendant l’enregistrement de « À tout hasard »

 


Pour acheter son billet, c’est ici.