Ghosts in the machines
Dans le cadre du projet fou de cyberconcert de 24 h intitulé Faîtes de la musique, Jacques Bon est venu poser ses machines pour dialoguer avec l’orgue de Saint-André de l’Europe. Je voulais – je veux toujours – travailler avec un DJ ; néanmoins, d’emblée, je travaille avec mieux – un musicien électronique. Autour de quatorze séquences fracassantes de l’Apocalypse, un ballet sonore tour à tour furieux et mystérieux explorera les possibles et les impossibles de la rencontre entre le monde du souffle et le monde de la technologie.
Il y aura donc, entre autres, du dragon qui balaye les étoiles, une vierge qui enfante, du vent, des lions, des nombres et donc Dieu. Le tout enregistré ce jour dans les conditions et, inch’Allalalalah, avec l’énergie du direct so that you shall become the ghost in the machines!