Feue Vaïka
Elle est morte, et c’est triste.
Jadis, je venais travailler l’orgue avec M. Chien. En dépit de son absolue discrétion, certains paroissiens s’en émurent. Le curé me demanda de cesser. J’obtempérai.
Las, le curé suivant vint travailler avec sa chienne, et les maudits durent bien fermer leur grande gueule putréfiante.
Pour ce médius humecté et tendu bien haut vers les sains connauds, ainsi que pour les apéros partagés avec notre patron commun, merci et bravo, Vaïka.