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Photo : Rozenn Douerin

C’est le petit plaisir de la fin du récital. Après avoir joué ce que je voulais, je pouvais jouer ce que je voulais encore grâce à l’improvisation conclusive. En m’appuyant sur un thème célèbre, je voulais baguenauder dans les riches sonorités de la Bête. Disons que la Bête a souhaité manifester sa propre volonté. Le résultat est un dialogue entre le prévu et le donné. Une improvisation, donc.