Château de Versailles, 10 juin 2020

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Dans l’immensité incroyablement vide du château, la photographe référente du site et l’expert ès orgue Sleepy. Photo : Bertrand Ferrier.

Quand les ploucs comme nous sont peu nombreux, il est malin de profiter de cette planque impressionnante quoique étonnamment plutôt vide – de gens pour le moment, de meubles plus structurellement.

Photo : Rozenn Douerin

Visiter Versailles peu après la fin du Grand Confinement, c’est un peu comme vendre un pavillon à Orly lors d’une grève – ou comme regarder en paix « Les Noces de Cana » qui font face à la Joconde.

Photo : Rozenn Douerin

Pour la reprise, le visiteur ne peut baguenauder que dans quelques espaces du château dont, évidemment, la galerie des glaces quasi évacuée.

Photo : Rozenn Douerin

Entre deux panneaux promouvant les grosses entreprises, une éventualité : jamais, peut-être, Versailles ne fut à la fois ouvert au public et aussi paisible.

Photo : Rozenn Douerin

Cela méritait un photobombing quasi chiraquien.

Photo : Rozenn Douerin

Par précaution, je stipule que je ne suis pas responsable de l’intégralité des dégradations commises dans cet espace.

Photo : Rozenn Douerin

Mais c’est vrai qu’être, principe de la royauté, mégariche et exploiter le peuple autant que les lèches-culs, ça pète…

Photo : Rozenn Douerin

… surtout avec une écriture partiellement d’époque.

Photo : Rozenn Douerin

Même ici, un peu de liberté quasi sauvage réjouit…

Photo : Rozenn Douerin

… surtout dans un monde tellement policier. Ou policé, va savoir.

Photo : Rozenn Douerin

Peut-être le paradoxe du jour : qu’une forme maîtrisée de nature exprime le mieux la libération de la culture quand elle n’a plus affaire au gros business mercantile d’État…

Photo : Rozenn Douerin.

En doux téton ?

Photo : Rozenn Douerin