Champion du monde
En 1998, je n’avais pas regardé la finale de la Coupe du monde de foutchebol. Pas par snobisme : simplement, on discutait écriture et littérature dans un p’tit village du Gers à l’occasion d’un stage post-Prix du Jeune Écrivain.
En 2018, je n’ai pas regardé la finale de la Coupe du monde de fouteboule. Toujours pas par snobisme, hélas : simplement, je participais à un tournoi de palet breton sur planche de bois – précision pour les spécialiss.
Oui, la France peut me rendre gras. Grâces, pardon.
Cela dit, je me souviens que, à un moment, ça s’est plutôt bien boutiqué. Du coup, des gens ont truqué des photos pour me décrédibiliser. Évidemment, il s’agit d’un montage.
Oh, ça va. Allez, chantons pour fêter la Liesse populaire, et puis c’est marre.