Quand j’ai vu, j’bois double

Ce tantôt reprenaient les redoutables et conviviales dégustations à l’aveugle de Thierry Welschinger, feat. notamment un excellent blanc et un non moins savoureux rouge de Guillaume Gros from Luberon. C’est malin, stimulant et gouleyant, même pour les simples curieux, dont votre asserviteur.

Hips hips hourrah

Dégustation du domaine Jacqueson à la cave du parfait Thierry Welschinger, alias Mes accords mets et vins redessiné par Anne Froget. Sans aller jusqu’à la Romanée, la Romanée, la Romanée-Conti, l’occasion d’apprécier sans fard la sincérité et l’authenticité de Marie Jacqueson, de son époux Florent et de son frère Pierre. Joyeux et palpitant, entre crémant…

Chienne d’idée

Aujourd’hui, j’ai promené la chienne du curé. Lequel m’a dit merci alors que, moi, ce que j’aime, c’est me promener avec des chiens (ou des chiennes, ça m’va aussi.)

C’est chouette

Retour de rdv chez un éditeur, pensée profonde : le beau temps, c’est comme une rage de dents quand ça s’arrête. Nous ne voyons pas d’autre explication, bonsoir.

Survivre, ne serait-ce que pour, déjà, bon

Chers vous, vous êtes plusieurs centaines de milliers, à vue de fesse, à me demander si je suis mort ou plus si affinités, et je vous remercie de tant de sollicitude – point ne m’y attendais. Inch’Allah pouët-pouët, pour le moment, ça va bien. Pourtant, j’habite Paris, j’aime plutôt bien les Eagles of Death Metal…

Soyons sport

Invité chez un d’mes p’tits frères à siroter le machchch France – Nouvelle-Zélande. Mais, parfois, la technologie donne une vision singulière, une néo-cosomogonie du rrru(g)by. Heureusement, ma réputation m’avait précédé, et j’avais droit à un verre. À une carafe, diront certains. Il paraît que c’est vexant. Dans ce cas, avec de bonnes vieilles vignes, je…

Talent multiple (ha, ha)

– Bertrand Ferrier, entre deux livres, deux concerts, deux cérémonies religieuses, qu’est-ce que vous faites ? – J’essaye de survivre. Et je déstructure des intemporalités avec souplesse.

La flûte en chantier

Réunion de chantier dans l’atelier d’Yves Fossaert, facteur désigné pour restaurer l’orgue de Saint-André de l’Europe. Et dans cet atelier, comme par zazar, les grandes orgues tutoient les grandes eaux de toilettes.

Niouzlettre de septembre : nouveau livre, nouvelles festivités

[… pour ceux qui préfèrent la recevoir avant tous ceux qui la reçoivent pas, inscrivez-vous à droite, rubrique « newsletter » (si, si). On revend pas les courriels, on envoie une niouzlettre par mois en moyenne, et ça fait zizir de sentir ce soutien.] Chers gens, Parlons peu, parlons peu : vient de débarouler en librairie mon…

Mon p’tit côté luxe en bourgeois

« Laissez-vous tenter » avait soutenu Gling ! Un amour de supermarché (Le Livre de Poche Jeunesse). « Les grosses têtes » avaient soutenu Mémoires d’une femme de ménage (Grasset puis Le Seuil, « Points »). Cette fois, je reviendrai non pas à Montréal, faudrait déjà qu’j’y allasse, mais à RTL pour « L’homme qui jouait de l’orgue » dans l’émission « La curiosité…

L’ego en promo

« Bertrand Ferrier : on l’aime pour sa fantaisie, ses coups de gueule, sa créativité et il faut bien le dire sa virtuosité au piano. Ce serait dommage de le rater, de plus, au Magique, une institution de la chanson vivante ! » (Luc Melmont, « Culture et chanson ») Oh oui, eau bien chaude du compliment, coule encore…

Mélomanie

Celui qui n’a jamais discuté d’opéra avec un connaisseur n’a jamais connu la folie du tempo.

Option stock

Bref, je vide mon salon pour réfection. (Bizarrement pas hâte que la réfection soit finie.)

Pascale Locquin, Au Magique, 30 mai 2015

C’est toujours inquiétant d’aller voir chanter des gens que l’on a croisés et appréciés au gré des carrefours de hasard. Et je ne dis presque pas ça pour me vanter d’être allé écouter Pascale Locquin au Magique (75014), ce 30 mai. Pourtant… Le spectacle s’ouvre sur une première partie oubliable. Pianiste médiocre critiquant sans cesse…

Moi, mes souliers…

Selfie de mes chaussures (« shoofie », donc) à l’occasion de leur première messe comme titulaires exclusives de l’orgue de Saint-André de l’Europe. Pendant ce temps-là, sur les claviers, Zakouski, le nérisson trouvé dans un placard, fait le con. Pas encore professsssionnel, mais ça viendra.