… and nothing else matters
C’est un peu l’avantage du clavecin. D’emblée, t’es hors jeu. Dans un monde autre. Inactuel, quelque moderne soit ta musique. Et ça, dans un « écosystème culturel » obsédé par l’actualité, réelle ou fantasmée, mazette, ça fait du bien. Par exemple, quand Anna Homenya incarne digitalement les grooves du sieur Couperin, ça donne cinq feelings différents…