J’en avais pas vu autant depuis des lustres
Backstage collégiale Saint-Martin de Montmorency. Pour un organiste plutôt fils des néons (et pas mal du néant), ça claque.
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Backstage collégiale Saint-Martin de Montmorency. Pour un organiste plutôt fils des néons (et pas mal du néant), ça claque.
Même quand le titulaire n’est pas là, on devine au coupe-ongles qu’il est la.
Dans le n°310 de Musique sacrée, l’organiste, mon ex-N+1 dit du bien de L’Homme qui jouait de l’orgue. Dont l’on peut toujours acquisitionner quelques exemplaires, par ex. ici, soit stipulé fortuitement.
Jouer un mariage avec une chantresse sympa et un chœur de bonne volonté, dans une grande et lumineuse chapelle-église du Nord de Paris : c’est souple. Avec un vrai orgue, qui sonne comme un orgue et n’oblige pas à toujours enfoncer les manettes de jeux à fond, ç’aurait été un sus. Ce nonobstant, le plaisir…
Pendant un enterrement, on rénove l’église. Comme chantaient The Shoulders, the fun never stops. Même si c’est pas joli-joli, mais bon.
Convoi du jour en retard (très). Quand même, c’est beau ! Convoi encore plus très en retard. Quand même, c’est – bon, il est quelle heure ? Convoi toujours pas arrivé. Pfff, si j’prenais une photo, pour m’occuper ?
Fin d’été. Trois célébrations. Trois heures entre chaque. Survivre. Et ne pas se laisser impressionner par la météo. Non mais.
Invité sur RTL. Les journalistes étaient bienveillants, le producteur accueillant. What else? Here comes the replay, stibidibidop.
– Tu veux un café, ce matin ? – Je veux toujours un café, mais on a le temps, avant le convoi ? – On a toujours le temps. D’autant que j’ai rapporté une petite liqueur de Pologne pour mettre dans le café, tu m’en diras des nouvelles. Pom, pom, pom, etc.
L’avantage d’être organiste, c’est que, souvent, on bosse dans des bureaux plutôt sympa… … même si on travaille en open space, y a du beau matériel… … et en arrière-plan, c’est encore plus beau. Aime bien ce job, moi, parfois…
Le meilleur moment de la vie d’auteur : quand tu récupères « ton » exemplaire de « ton » livre. Pom, porom pom pom pom, pom…
Dans certaines paroisses, entre les salles « à louer », la sacristie et l’église, des panneaux préviennent les néophytes qu’ils entrent dans une aire dangereuse…
« Bon, tu te bouges, qu’on le lance, ce maudit chant d’envoi, ou on passe le dimanche à compter les mouches ? »
Un bel orgue. Un programme griffonné. De quoi se désaltérer entre deux cérémonies. What else?
Je sens comme une déchirure (à 1’12 pour les pressés)… et sinon, j’avais une autre blague, mais, là, j’ai un trou.
« Tu vacances ? – En quelque sorte, je sue. Pause. »
Vis ma vie d’organiste, et allume le feu. (À celui qui lui demandait s’il avait le feu sacré, un personnage de Dan Gutman répondait : « Seulement quand j’ai mangé un chili con carne bien épicé. » Voilà, ce sera tout pour l’instant, vous pouvez disposer.)
Suite au concert du 14 juin, invité avec le trompettiste Rémy Richard par Culture Espérance Roquette au banquet de fin d’année sur la terrasse de l’église Notre-Dame d’Espérance (Paris 11). C’était chouette, même si, pour citer Anne Sylvestre, peut-être sur la fin, on aurait pu un p’tit coup d’vin mais allez, c’était bien. Très bien,…
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !