La musique de moi
Comme un goût de solitude
Sortie de convoi. L’hiver, le morne, le vrai. Repartir, re-repartir et revenir dans 3 h. Et re-repartir, inch’allalah.
Quand l’organiste joue du trombone
Quand organiste ennuyé, lui parfois faire de drôles de trucs avec les trombones.
Répété
Rentrer d’une répétition tenue par des gens compétents. Bricoler une assiette et un verre. Kiffer la vibe à base de tranquillade. Et, pour le reste, on verra plus tard.
Un peu d’orgue, mais avec courtoisie !
Invité à Radio-Courtoisie par Vincent Beurtheret et Annette Ventana, pour y parler de L’Homme qui jouait de l’orgue. Par ma foi, qu’importent inepties et maladresses, on fait c’qu’on peut avec c’qu’on a, ma brave dame… Première partie (12′) : devenir organiste Deuxième partie (19′) : exercer comme organiste Troisième partie (21′) : survivre comme organiste
Souple et solide à la fois
Franz Schubert (1791-1828), Reginald Kenneth Dwight Elton John (né en 1947), Léon Boëllman (1862-1897). Qui a parlé d’intrus du cou ?
I made a dream
Dans les placards, pas de cierge. Pas de matos. Juste une cafetière et un frigo avec, en masse, du suc de houblon dedans. Cela nous semble impossible. Irréalisable. Let’s make it.
J’en avais pas vu autant depuis des lustres
Backstage collégiale Saint-Martin de Montmorency. Pour un organiste plutôt fils des néons (et pas mal du néant), ça claque.
Le sexe de l’organiste
Même quand le titulaire n’est pas là, on devine au coupe-ongles qu’il est la.
C’est walide
Dans le n°310 de Musique sacrée, l’organiste, mon ex-N+1 dit du bien de L’Homme qui jouait de l’orgue. Dont l’on peut toujours acquisitionner quelques exemplaires, par ex. ici, soit stipulé fortuitement.
Joyeusetés
Jouer un mariage avec une chantresse sympa et un chœur de bonne volonté, dans une grande et lumineuse chapelle-église du Nord de Paris : c’est souple. Avec un vrai orgue, qui sonne comme un orgue et n’oblige pas à toujours enfoncer les manettes de jeux à fond, ç’aurait été un sus. Ce nonobstant, le plaisir…
Making of
Pendant un enterrement, on rénove l’église. Comme chantaient The Shoulders, the fun never stops. Même si c’est pas joli-joli, mais bon.
Utilité de la beauté à l’ère du photophone
Convoi du jour en retard (très). Quand même, c’est beau ! Convoi encore plus très en retard. Quand même, c’est – bon, il est quelle heure ? Convoi toujours pas arrivé. Pfff, si j’prenais une photo, pour m’occuper ?
Good vibes
Entre costume et jeans, chansons et coquecigrues, c’était bien, c’était chouette, au Magique, ce 18 septembre. On a graffité des exemplaires de L’Homme qui jouait de l’orgue devant Georges Brassens en partageant des facéties… … et, enveloppé dans l’écharpe de François Marzynski qui n’avait qu’à la récupérer avant, j’ai fait un quasi selfie avec Jann…
Comme un insecte fou
Entrer dans la lumière d’une répétition technique pour le concert du 18 septembre au Magique : check. Quelques places encore disponibles ici !