Fleurette
C’est quand même l’avantage du rganiss liturgique itinérant : chemin faisant, il peut conter fleurette aux pikifa. Mal, apparemment, mais bref.
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C’est quand même l’avantage du rganiss liturgique itinérant : chemin faisant, il peut conter fleurette aux pikifa. Mal, apparemment, mais bref.
« – … et cette fois, Bertrand, vous n’incrustez pas le chat du curé, sans quoi Julien ne travaillera pas, sous prétexte que le « tibonomm », je cite, ressemble trop à ma féline Pétronille. – Voyons, Hervé, pas deux fois le même gag. Pour qui diable me prenez-vous ? Cette fois, j’ai juste amené M. Chien….
… c’est beau, mais, les jours où t’as pas le jump, c’est loin.
Une partition pour organiste : voix, flûte, hautbois et mesure à 21/16. Seigneur !
9 h du matin. Saint-Lazare. Train à prendre pour jouer convoi basilique d’Argenteuil. « Panne de signalisation. Trafic interrompu. » 13 h. Gare du Nord. Train à prendre pour jouer convoi collégiale de Montmorency. « Absence d’alimentation électrique. Trafic interrompu. » 18 h. Opéra national de Paris. Spectacle à applaudir, réservé le 21 janvier 2017. Annulé pour cause d’incident…
Quand t’invites un rganiss belge, parfois, il t’offre un assortiment touristique. C’est pour ça, tu te demandes : « Y a pas un rganiss, à la Romanée-Conti ? » Ce nonobstant, en vrai, le mec a bossé. Par ézampe, il a choué « Lumina », de son maître Firmin Decerf… … les festonnades autour d’« O Filii » de Denis Bédard……
– T’as 6 h de déplacement, ce credi ? C’est génial, surtout pour quelqu’un qui aime lire ! – Déjà, je lis kanchefeuh, donc chut. Mais baste, sot, je vais te spliker. J’ai pas 6 h de transport, j’ai plutôt ce qui suit. Aller 10’ marche 5’ attente métro 15’ métro 7’ marche 8’ attente départ train…
Avec la panthère noire, avant la messe, on attend les clients.
Tentative d’infiltration canine d’un projet, fomenté avec ORGANpromotion, pour un festival hommageant Johann Sebastian Bach et Robert Maximilian Helmschrott.
Tu sais que t’es vieux si, à l’époque où on t’a offert ta clarinette, c’était pas bizarre d’avoir un téléphone à sept chiffres.
Le bottin s’éloigne, mais le beau temps approche. Presque. En tout cas, l’être préféré de tout Vincennes recommence ses rondes. Youpi.
Quand tu tournes les pages (deux) d’une jeune rganiss que son prof a convaincu d’enregistrer une démo pour Chartres et que, connaissant ta réputation de pire assistant du monde à la console, l’insolente gamine commence son brief par : « Alors, vous allez voir, c’est pas compliqué. » Bien.
… c’est François-Xavier dit « Fix » Grandjean qui était aux manettes, ce 8 avril. Le titulaire de la plus importante paroisse de Wallonie, Sainte-Julienne de Namur, fracassait sa grande carcasse contre les récifs parisiens de Saint-André de l’Europe, à l’occasion d’un récital vespéral associant notamment Bédard à Franck et Decerf à Bach en passant par exemple…
François-Xavier Grandjean, figure de l’orgue wallon, est dans la place. Rendez-vous ce dimanche à 17 h pétantes pour un concert spectaculaire qu’annonçaient les répétitions… … et que confirme un programme spectaculaire. Grand écran, cadreuse lailleve et entrée libre devraient faire le reste.
Comment mieux spliker la vie d’un rganiss lors de la Vigile pascale ? Après, c’est mimi, je dis pas. Moins qu’à l’endroit star, mais au moins tu bosses. Bon, soit, mais avant ? Tu sais que l’église est dans le noir, et tu me fais coucou quand même ? Ou tu sais que l’église est dans…
– Alors, ça va pas vous plaire, mais faudrait jouer pas trop fort pendant une heure trente en vous arrêtant trois minutes toutes les dix minutes. – Mais je joue quoi ? – Ce que vous voulez. Idéalement, vous improvisez sur les chants de la feuille de Carême. C’est pour qu’il y ait un fond…
Si chanter, c’est fermer deux fois la gueule aux cons, alors chanter en chœur de la musique contemporaine dans l’un des départements les plus pauvres d’Île-de-France, c’est faire encore mieux. Surtout quand ça se pratique dans la bonne entente, le professionnalisme et l’enthousiasme. Après, qui dit 93, dit forcément problèmes religieux. À titre personnel, je…
Ce vendredi, au théâtre L’Odéon – Jean-Roger Caussimon de Tremblay-en-France, a été créé Tian Wen II de Huihui Cheng par le chœur Soli-Tutti (dans lequel je glisse quelques sons de basse 1), sous la direction de Denis Gautheyrie, avec l’orchestre Densités issu de l’ensemble Divertimento, feat. notamment les excellents Yves Bruchon, première clarinette, et Sandrine…
Parfois, le « programme » d’un enterrement d’1h30 est très abondant. Parfois, il est plus impressionniste. Illustration du second cas.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !