Voulez-vous danser avec moi, ce soir ?
Ce soir, l’orgue danse. Bringuebale. Facétise. Grotesquise. Entre carillon et cirque, Hervé Désarbre propose de mettre le feu à nos dancefloors intérieurs. Alors, voulez-vous danser avec moi, ce soir ?
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Ce soir, l’orgue danse. Bringuebale. Facétise. Grotesquise. Entre carillon et cirque, Hervé Désarbre propose de mettre le feu à nos dancefloors intérieurs. Alors, voulez-vous danser avec moi, ce soir ?
Voici le tube de Jo Raff, op. 85 n°3 de son petit nom, transcrit pour tuyaux par Aloÿs Claussmann : un peu de mignonnitude dans un monde souvent dégueu, injecté par l’imperturbable clergyman bien français qu’est Hervé Désarbre. Joie.
Un peu d’opéra qui charme : c’est par cette astuce que Hervé Désarbre concluait son concert inaugurant la cinquième saison du festival Komm, Bach!. En cette période de pilules amères, il était temps d’offrir aux gourmands ce petit bonbon. Bonne savourade à tous !
On va pas s’mentir, mâme Chabot : aujourd’hui, pour ne pas mourir trop jeune, je re-vieillis. Par le fait même et en conséquence, au cas où que je meurs bientôt, je ne souhaite pas que les gens périssent eux aussi sans lumière. Partant et même subséquemment, pour quelques jours, la cyberboutique propose des soldes…
C’est un concert mystérieux. Nébuleux. Sauvage mais républicain. Un concert qui, contrairement aux teufs avec ministres trop riches rêvant de tutoyer Leroy ou aux technodances du ministère de l’Enseignement supérieur, respecte le port du masque pour les participants (partant, Sibeth la bien nommée n’est pas invitée). Un qui affirme, juste, résolument, que les musiciens…
Lors du lancement de la cinquième saison du festival Komm, Bach!, Hervé Désarbre a débouché deux bouteilles offertes par Hans-Uwe Hielscher. Voici la première.
– On n’a pas eu le temps de tout enregistrer pour le concert de novembre… – Ben, c’est pas grave, avec l’autorisation du curé et la validation des gestionnaires du planning paroissial, on en remet une petite dans la cheminée quand vous voulez, non ? – Ah ben, vu comme ça… –…
Ces jours-ci, on enregistre à tour de bras. En ce moment, ça sent plutôt l’orgue-et-trompette, même si Guy Touvron a de sacrés airs de Romain Didier…
– Et alors, ce concert sauvage et secret du dimanche, c’était bien ? – Carrément ! Dans la chambre qui nous servait de loges, y avait un wazo. – Un ? – Un wazo. Il s’appelait Boubou et il avait l’air super sympa. – Nous n’avons pas d’autre question, Votre Honneur.
N’en déplaise aux puissants, réveillons-nous. Le pouët-pouët suivant peut joyeusement nous y aider.
Parfois, il est fait de sains cadeaux à l’organiste, et c’est joyeux.
Avec près de 300 vues en à peine 36 h, le cyberconcert du festival Komm, Bach! réunissant orgue et chœur de jeunes filles a rencontré un franc succès d’emblée. Désormais, il est disponible en replay, avec une set-list diversifiée et un coquetèle d’émotions à savourer sans modération. Pour les curieux, voici le programme ;…
Le gouvernement interdit les élections et les rassemblements culturels – sans doute une coïncidence. Qu’importe, on continue. Ce samedi soir, en toute légalité, profitez d’un concert associant le chœur des Polysons – de jeunes chanteuses de Belleville managées par Elisabeth Trigo – et l’extraordinaire lutin des orgues, Jorris Sauquet en personne. Une heure de…
Puisque, chantait Marie-Paule Belle, sur un volcan, il faut rester chic, dansons au rythme du clavecin. Faute de bar à danse, profitons donc d’une sarabande.
Le monde est beaucoup trop sérieux pour les poètes et les ploucs. Évadons-nous, chers collègues, sur les ailes d’un violoncelle inspiré donc inspirant !
Captation en cours, cette nuit, pour un prochain concert YouTube du festival Komm, Bach!. Des coulisses, le rangement paraît un peu perfectible, mais on n’a plus que 18 h 52′ de bande devant nous – pas le temps de faire dans le détail-qui-ne-se-voit-pas… On vous attend presque déjà bientôt ; et, comme…
Tout est lavé de frais, propre et bien rangé. Un clavecin joue sans ennuyer. Pour la vraie vie, on verra plus tard.
Le jour de ton décès, ils pourront être trois ou moult à regarder le bois, ils pourront remplir une collégiale ou se perdre dans une petite église, une chose est sûre : comme tu le savais, tu seras mort seul. Jusqu’au bout Frederik Mey aura raison… mais, si l’organiste est honnête (ça…
Toujours être du bon côté des barreaux (à la lisière, stipulerait Clarika), afin de bondir quand la cage s’ouvre. Quand la suite s’ouvre, c’est bien aussi, semble nous signaler Bruno Beaufils de Guérigny, qui offrit cette première diffusion YouTube au festival Komm, Bach!.
… même si, dès mars, on l’attend, mais Claudio Zaretti n’est pas optimiste pour ce mois d’avril. Heureusement, sa chanson, offerte au festival Komm, Bach! pour un cyberconcert, nous réchauffe le cœur. Prenons la chaleur où elle est, mildiou !
L’heure des concerts interdits devient enfin l’heure des concerts sauvages. La révolte gronde. Avant qu’elle n’explose, voici 30′ de paroles et musiques en guise de grondement.
Aujourd’hui, c’est jour de concert sauvage : je ploum-ploume au service du chanteur Jann Halexander. Les répétitions ont donc été à la hauteur de la sauvagerie annoncée, avant de revenir à une clarté pour le moins remarquable.
Danser le postérieur vissé sur sa chaise, les bras encombrés d’une grosse calebasse DeLuxe avec des cordes, une baguette avec des cheveux à la main, est-ce possible ? Pour certains, oui. Démonstration avec Emmanuel Acurero, le violoncelliste dont le CNSMDP continue d’admirer les prouesses, tant en musique d’antan qu’en musique contemporaine – ici en…
Oh, il peut se dissimuler ! Mais jamais le chat de passage n’échappera à l’œil aguerri du rganiss professionnel et zzzzitinérant qui aime rien tant que grattouiller et/ou discuter avec les tites bestioles qui zont rinde mieux zafèr. (Il est fou, lui. Moi, je suis normal, mais ce pikifa est foufou. Voilà mon diagnostic,…
Bientôt, le prochain concert sauvage où, pour un public choisi et masqué, je ploum-ploumerai tandis que fredonnera Jann Halexander. Après la phase travail perso, la phase mise en place du duo mérite souvent quelques graffiti pour que tout soit pimpant le jour où.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !