Le fameux « cassez-vous, pôv’ cons »…
… traduit en langage correct, avec les fautes d’orthotypo indispensables quand on s’adresse, au ras de terre, aux cons. À nous, donc.
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… traduit en langage correct, avec les fautes d’orthotypo indispensables quand on s’adresse, au ras de terre, aux cons. À nous, donc.
– L’important, c’est le son. – Dans la précision esthétique, tout de même. – Il est vrai que le show-off orienté autour du naming doit cesser. – Le musicien est itou un facteur précieux. – N’oublions pas le luthier. – Certes.
En attendant une cérémonie, je cherche un pote poilu à pattes. Quand j’en croise un, je sens aussitôt dans son regard une forme de passion pour le dialogue et la rencontre de passage. Après, c’est vrai que mon statut d’artiss, un jour à Rio, l’autre à de Janeiro, peut susciter la méfiance. Tristesse des préjugés….
Y en a, c’est leurs cuissots au bord de la piscine. Pour le Parisien qui stationne et tient les murs, la vacance, c’est ça, et c’est pas si pire. Ben quoi ? On est tous sur le même bateau (ha-ha), mais y a des capitaines et des matelots, v’là tout.
Quand il fait chaud, en août, parfois, je fais des compotes. C’est peut-être pour ça qu’il fait chaud. Pas d’inquiétude : animé par une curiosité toute scientifique, je vais bientôt arrêter afin de vérifier s’il y a vraiment un lien. Vous m’en direz des nouvelles.
… tout le monde, même moi. Voici donc ma nouvelle photographie d’art intitulée « Murmure des bains de sang » (casserole et mûres des Batignolles). En prime, le mégahit qui a lancé la carrière météoritique, portée par une espèce de vérité, du trio Je m’appelle Firmin. Voici donc « X (Tout le monde fait l’amour) » (Paroles : Bertrand…
Quand on sort d’une exposition Delacroix, qu’est-ce qu’on peut bien faire, après ça ? Se balader, prendre l’air, oublier le sang, l’éther. Reprendre la petite roue de la vie en regardant le monde respirer, si tranquille tant qu’on ignore le reste. À mon échelle, c’est déjà pas mal, peste.
En 1998, je n’avais pas regardé la finale de la Coupe du monde de foutchebol. Pas par snobisme : simplement, on discutait écriture et littérature dans un p’tit village du Gers à l’occasion d’un stage post-Prix du Jeune Écrivain. En 2018, je n’ai pas regardé la finale de la Coupe du monde de fouteboule. Toujours…
Quand, à Garnier, tu es en loge, quasi seul, dans les hauteurs, bien que tu luttes contre ton vertige, tu profites. Et le spectacle n’est pas que sur scène ou dans la salle – heureusement, d’ailleurs. Il est déjà au plafond. Quasi tout près, donc. Tu peux même tourner la tête comme ça te chante,…
Au retour d’une exposition, tu te rappelles que, parfois, les gens font des choses étranges. Encore plus étranges que d’aller à une exposition… … à laquelle certains détails semblent faire écho. Il y a des lumières. Des couleurs. Des gens qui crient. Des panneaux indicateurs qui, comme nos vies, ne mènent nulle part. C’est saugrenu…
… je ferais n’importe quoi, Caramel. – Hum, c’est gentil, mais pas moi.
Quelques décennies aux Batignolles à vendre des journalses, des bonbex et des trux. Puis le loyer augmente. C’était un endroit minuscule. Aujourd’hui, premier juillet de l’an complexe deux mil dix-huit, juste en face, il y a des gens très propres qui attendent la place ; et je passe à deux doigts de croire que j’ai…
… et le sage, la lune. Ce qui, après quelque temps, doit être relativement lassant, mais bon.
« I’m just a Caramel, fighting your sorrow Holding my head up high, I won’t beg, steal or borrow, Oh, and if not today, if not today, then maybe tomorrow. »
Rencontre avec le vigneron Xavier Frissant, viticulteur avisé, promoteur des vins de sa région (Cahors inclus, c’est dire) et raconteur roué, aussi croustillant que capable de s’adapter à ses interlocuteurs. Ses rouges à base de côt (plus chic que le malbec, appellation hors sujet sur ses coteaux !) s’adressent davantage aux amateurs de vin fruité…
… par exemple, grâce à Thierry Welschinger et à ses produits méticuleusement choisis, présentés avec engagement et simplicité même à des ignares comme votre serviteur, cette fleur de Labet, stupéfiante.
Test interactif d’une dizaine de fioles chez Thierry Welschinger. En ignorant, je suis d’accord à peu près sur rien vec les connaisseurs qui testent même temps que moi, genre des sommeliers du Crillon. C’est rigolo d’être aussi sincèrement nul.
J’y étais, je peux témoigner : il n’y avait personne, à la manif, comme en témoigne cette photo du cortège en train de se former, une heure et demie avant le départ effectif. En revanche, c’est vrai et pardon, il y a eu des heurts (des coups de Soleil, au moins). L’ambiance était délétère, et…
– Photographier, c’est empaqueter une scène dans la bouteille vide d’un appareil, et craquer une allumette pour la remplir de lumière. – Docteur ? Oui, c’est ça, bonjour, ça va, bon dimanche, tout ça, on s’en fout. Je crois que l’on vous a déniché un bon client.
À la base, à Chantilly ou à Compiègne, on vient pour ça : voir le favori Ayguemorte (à l’extrême-gauche sur cette photo) rosser ses adversaires selon son envie, les circonstances ou le talent de son jockey. Dézoomons donc et remontons le temps avec celui qui revint du Portugal pour, précisément, monter Valdeblore puis Ayguemorte. Dézoomons…
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !