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Photo : Rozenn Douerin

 

C’est toute la morale de l’histoire.
Quand les préfets autorisent des carnavals « faits main » (pour ceux qui n’ont pas les codes, bien sûr), les gouvernants des déplacements en groupes assis sur de longues périodes, alors que la culture est interdite et ses acteurs sont assassinés économiquement par le pouvoir, tentons encore d’avancer – comme on peut, avec les moyens du bord, dans les conditions envisageables, mais avancer. Ne serait-ce que pour faire bisquer les hauts merdeux qui nous détruisent pendant que nous les payons plus de 10 000 € le mois, comme leurs conseillers et sans que ça leur suggère de faire bravo des fesses – c’est bien la moindre des causes.
Penser que l’inepte Pharmacienne est toujours là à se faire dorer les tailleurs avec ses p’tits copains pour nous détruire n’est pas sans m’escagasser, je l’admets. Alors voilà, quoi, on fait c’qu’on peut dans les parkings, c’est notre d(r)oigt d’honneur à nous, voilà tout.