… and nothing else matters
C’est un peu l’avantage du clavecin. D’emblée, t’es hors jeu. Dans un monde autre. Inactuel, quelque moderne soit ta musique. Et ça, dans un « écosystème culturel » obsédé par l’actualité, réelle ou fantasmée, mazette, ça fait du bien.
Par exemple, quand Anna Homenya incarne digitalement les grooves du sieur Couperin, ça donne cinq feelings différents en huit minutes. Don’t listen to the assholes, just be yourself and let’s feel the beats & vibes.