Affaire classée
Bien que je pense que l’on s’en tampiponne le bibobéchon, je réponds à LA question, une fois pour toutes c’est-à-dire dans l’état actuel du bouzin : quoique mes autres vaccinations soient, je crois, à jour, je ne me ferai pas vacciner pour AstraPfizerModernaSanofi.
Parce que, n’étant pas encore tout à fait vieux, ni complètement obèse, ni atteint d’autres maladies, l’enjeu et le risque ne me semblent pas en valoir la chandelle.
Parce que rien n’est cohérent dans le discours provaccinal – le nombre d’injections, le délai entre les piqûres, la complémentarité des produits, l’efficacité, les risques (qui n’existent pas, voyons), etc.
Parce que j’ai été en contact avec moult ploucs comme moi presque chaque jour depuis le début de cette farce, lors de longs transports en commun, et que j’ai, semble-t-il, survécu jusque-là.
Parce qu’être vacciné, à ce qu’il semble que l’on sache, ne protège pas les autres.
Parce qu’être vacciné ne protège même pas vraiment sa pomme, vue l’inventivité des variants.
Parce que je ne veux céder ni à la grande foire du faire peur, ni au chantage qui me vend ma liberté de travailler, de consommer voire de vivre contre la fortune des labos et de leurs promoteurs.
Parce que, cerise moisie sur le gâteau farineux, cela permet de redonner un peu de visibilité à cette vieille cochonnerie de Bernard Kouchner – le pauvre devait s’ennuyer avant que le JDD ne le tire de sa naphtaline dorée.
Parce que je n’en ai rien à carrer d’être catalogué comme dangereux complotiste et mauvais citoyen, quelque chose de cossu.
Par conséquent, puissent ceux qui veulent se faire vacciner avoir cette chance, et que cela leur profite. Quant à moi, dans l’état actuel du bouzin, je-ne-me-fe-rai-pas-vac-ci-ner.
Et j’ajoute que, si je tombe malade, je me ferai soigner sans honte ni remords. Parce que c’est ce que je fais depuis 1977, que je cotise et paye humblement pour cela depuis quelques années, et que j’ai du mal à comprendre pourquoi, en 2021, j’en devrais éprouver vergogne. Fin du débat.
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