44 (ou presque) : la face D « dans le miroir » (1)
Comme Georges Perec, je me souviens, grâce à la quinte augmentée dont s’est gaussé Jean-Pierre Bouquet, du soir de la création de cette chanson où un de mes chanteurs préférés, Jean Dubois, qui m’avait déjà accusé d’user de trop d’élisions, m’a dit, malgré la dernière syllabe de son patronyme : « Tu crois pas que tu chantes trop de chansons à boire ? » Mon foie, je ne sais pas même si j’ai bien ma p’tite idée, bien sûr.
Ce nonobstant, j’espère toujours que ceux qui aiment la chanson avec du texte éventuellement liquide dedans continuent de soutenir la fredonnerie avec du texte en acquérant, selon leurs moyens et leurs désirs, 44 chansons ou presque ici. Précisons que la photo est issue d’une séance réalisée pour la marque urban Kuhuru.
Menée par des oufs malades de l’os de la tête, cette ligne a aussi signé la photo de couverture de l’album quadruple. Respect et reconnaissance à elle et à ses mystérieux meneurs. Pour retrouver la partie émergée des susdits secoués du ciboulot, et je sais de ce qu’est-ce que je parle au niveau soukouss de la matière grise, ça se passe là.